Suite du chapitre 1: Mémoire d'un champi (2)
-Et ses légendaires parties de débauches ?
-Qu’entendez-vous par là ?
-Vous savez, les orgies ?
-Au commencement, le chevalier aimait à humilier monsieur.
-Une semaine après s’être installé pour ainsi dire dans les appartements de Monsieur. Alors que j’apportais le plateau comme tous les jours, Monsieur me dit, tient voilà déjà mon petit laitier. Le chevalier, je ne sais pas pourquoi s’énerva, jeta le lait dans la cheminée me poussa au milieu du salon et me mis cul nu. Il dit à Monsieur de se régaler du lait qu’il préférait. J’avais depuis la scène de l’autre jour astiquer plus d’une fois en cachette mon vit, et la blancheur de ma sève ne m’avait pas échappée, et si jeune, vous pensez à peine mit cul nu, je bandais. Le chevalier se saisit de ma verge tendue, fit deux trois mouvement pour me décalotté et dit à Monsieur de ne pas se prier, qu’il savait qu’il en avait envie. Le chevalier tenait donc ma verge d’une main et Monsieur me l’astiqua goulûment, je ne mis pas longtemps avant de décharger. Monsieur avala tout mon nectar, le chevalier me dit que pour mon age, j’avais déjà une belle verge, je remerciai et avant de quitter les lieux, il me dit, que le lendemain je devais venir sans lait de vache.
-Et bien !
-Et bien, je n’avais pas d’autre choix. Je m’y habitua même figurez-vous, et je fis partie de leurs jeux sans doute. Au bout d’une semaine, le chevalier, me demanda si j’avais déjà été avec une fille, avec un garçon, je ne pu dire que jamais. Il en fut content et voulais m’apprendre. Ainsi, chaque matin quand je sentais que j’allais venir, je devais le dire, car un homme doit pouvoir bander longtemps, et savoir se retenir, je fus donc chronométré. Et le déjeuner pris de plus en plus de temps chaque jour. Un matin, le chevalier proposa d’offrir une double dose à Monsieur, tant que Monsieur alternait d’un sexe à l’autre, je sus maîtrisé, mais quand il mit dans sa bouche nos deux vits, au contact du pénis du chevalier contre le mien, dans un cri de jouissance intense, je jouis. Penaud et déçu de ma performance, je m’apprêtais à partir, alors que le chevalier força à se que toute sa queue soit bien au fond de la gorge de Monsieur tout en maintenant sa tête plaquée au risque qu’il s’étouffe, il me dit, la situation t’as plue laitier on dirait. Je ne parlais jamais, je n’osais pas, je ne pouvais parler que sur ordre de Monsieur. Mais depuis que j’étais leur jouet, je m’émancipais plus. De plus il me demanda si on m’avait coupé la langue. Je dis donc que non. Il me somma alors de répondre. Rougissant, les yeux baissés, j’avouai que cela m’avait plut.
-C’est bien normal, tu es un homme toi !
-Je m’excuse d’avoir été aussi vite.
-Ne t’excuse pas petit, face à une catin comme celle-ci, il faut juste prendre son plaisir.
Je souris et repris :
-Monsieur n’est pas…
-C’est tout comme, il est moins farouche que certaine crois moi !
Tout en parlant, il se faisait toujours sucer.
-Fait attention un peu avec tes dents. A moins que tu veuilles autre chose. Retournez-vous votre altesse. Le gamin et moi allons vous donnez entière satisfaction. Va donné du lait à Monsieur, je m’occupe de ses fesses et te le prépare.
Il cracha sur la rondelle de Monsieur, se saisissant de ses fesses à pleines mains, il joua avec, les écartant ou les serrant l’une contre l’autre, crachant sur la raie, se branlant par moment, alors que le laitier se faisait sucer. En regardant sur le visage du laitier les signes du plaisir, en se plongeant dans ses yeux, il pris possession de cette croupe soumise, sans doute plus excité par le gamin que par son sous-fifre. Celui-ci subissant avec ravissement d’être la proie de deux dards ne bronchait point. Le chevalier sentant sa propre jouissance imminente, appela le jeune garçon.
-Vient ici. Regarde un peu ce fion bien ouvert et offert. As-tu déjà vu pareil chose ?
-Non, jamais.
-Ne regarde pas trop, plonge dedans, tu vas voir comme c’est bon, meilleur qu’une bouche.
-Je ne me fit pas prié et tandis que je n’étais plus puceau en jouissant, le chevalier m’annonça que nous irions toute la nuit trousser la gueuse pour parfaire mon éducation.
-Vous avez aussi été avec des femmes ?
-Oui et toute la nuit comme il l’avait dit, je ne sais combien de fois il a remis le couvert, moi je finis par tombé endormi. Je ne vais pas dire que toutes les filles de la porte de Nîmes ont eu à subir ses assauts ce soir là, mais ce n’est pas loin, c’était un petit bordel, je me demande s’il existe encore, je n’y a pas remis les pieds depuis longtemps.
-Ceux qui disent qu’il est impuissant envers la femme, mentent alors ?
-C’est certain.
-Mais à Venise alors ?
-Salle affaire que celle-là.
-Et aucune preuve.
-Evidemment la famille royale aurait pu être salie par cette affaire, en faisant disparaître toutes traces écrites, il ne reste plus que du vent et des rumeurs.
-Que s’est-il passé la bas ?
-C’est bien simple, Madame commençait a apprécié son mari au-delà de ses travers, descendance étant assurée, chacun vivait sa vie de son côté tacitement. Mais voilà que lors des représentations officielles, de fil en aiguille, se créent des liens d’amitiés. Le chevalier craignant de perdre de son influence, exige de Monsieur une preuve d’amour, ce fut son appartement à Versailles. Madame n’accepta pas de devoir céder son appartement à l’amant de son mari et afin de s’assurer son emprise, monsieur proposa un voyage, Venise étant bien connue pour être la reine de tous les vices, c’est là qu’ils partirent. Madame décida de mener cabale contre le chevalier et elle faillit parvenir à ses fins. A Venise, Monsieur loucha sur un vendeur à la sauvette de galette au miel qui se trouvait toujours au bas des marches de San Marco. Je ne sais comment, mais cela parvint aux oreilles de madame, elle paya par le biais d’un intermédiaire tout acquis à sa cause ce jeune vendeur, pour qu’il fasse des allusions fines mais explicites à Monsieur. Le but étant à la base d’attirer Monsieur dans une impasse et de le faire assassiné. On dit qu’elle se fit même faire une robe de deuil dans le velours noir le plus cher de la ville des Doges.
-Elle n’a pas pu la portée.
-Pensez-vous, elle a été inhumée avec ! Je reviens à notre histoire, au bout de trois jours, Monsieur était titiller, et un ancien courtisan ayant perdu toutes ses grâces vit en ce jeune homme la possibilité d’être réadmis. Fut proposé à ce vendeur à la sauvette, de venir dans un tripot vendre ses galettes. Il fut bien vide encerclé et on lui proposa quelques bourses en échange de ses faveurs. Le chevalier n’était pas là. Je suis persuadé qu’il aurait empêché tout cela. N’a-t-il pas rendu justice d’ailleurs à cet homme en se battant en duel et en tuant le lâche, ça l’histoire ne l’a pas retenu. Elle ne retient que ce qu’elle veut. Toujours est-il qu’il n’a pas voulu faire dons de ses charmes, violer, il ne l’a pas supporté, et la police de Venise ne rigole pas avec les étrangers ! Voilà comment Madame s’est perdue, elle a voulu faire porter le chapeau au Chevalier de Lorraine. Celui-ci s’en est défendu, une série de femmes sont venues plaider sa cause, ils fallaient les voir venter les exploits du chevalier, c’était à qui mieux mieux. D’emblée le frère du roi fut écarter du procès moyennant finance, se sentant acculé par tous ses gens qui venaient plaidé sa cause, ils finirent par le blanchir à Venise et mirent au cachot un parfait inconnu dérangeant le pouvoir en place chez eux. A la cour il lui fallu plusieurs années avant de revenir en grâce et pour pouvoir à nouveau porter ses titres. Mais Madame numéro 1 eu un jour dans son vin, un poison mortel. C’est là que je l’ai suivis, je suis devenu mercenaire et j’aurai pu donné ma vie pour lui, c’est durant cette période que j’ai pu amasser quelques Louis et m’acheté ma ferme en Lorraine. En disgrâce, il doubla son domaine en achetant sur une autre identité des terres tout autour de son domaine initiale si bien que lorsqu’il le récupéra, il l’avait doublé de volume. Et cette mise à l’écart permis aux monastères sous sa coupe de se renflouer, ainsi qu’à ses autres propriétés. Car son train de vie est et a toujours été très dispendieux. Mais comme je disais, cette mise à l’écart a permis indirectement de renflouer ses caisses, il n’est plus en faillite depuis cette période. Comment est-il revenu à Versailles. En se distinguant et en ramenant saine et sauf la favorite du Roi. Le plus hilarant dans cette histoire, c’est que Monsieur était dans le complot visant à destituer la favorite du Roi. Le complot rata, mais c’est un coup du destin, alors que nous comptions piller une petite calèche, le Chevalier alors qu’il allait voler les bijoux de la dame dans la carriole, la reconnu, elle lui demanda son aide et promis de le faire revenir en grâce si il parvenait à la ramener au Louvres. Elle tint paroles, et une fois le chevalier de retour en grâce, à la cour sous cette nouvelle protection des plus inattendues et infaillibles à ce jour, il joue beaucoup avec les pieds de Monsieur.
-Est-il amant de la favorite, quand elle disparaît, lui aussi, et personne ne sait ou ils vont !
-Moi je sais, et vous seriez bien étonné de l’apprendre…
-Dites moi !
-Vous en savez suffisamment je pense, et je ne peux faillir à ma parole.
-Même contre le contenu de ce coffre.
-Même sous le coup de la torture.
-En tant qu’ancien mercenaire, je n’ai même pas envie de tenter le coup.
-A la bonne heure.
-Mais…
-Non, ils ne sont pas amant.
-Que font-ils lorsqu’ils disparaissent, donné moi un indice au moins.
-Que je dusse en mourir.
-Vous ne parleriez pas.
-Exact.
-Fréquentait-il quelqu’un en tant que mercenaire ?
-Allons casser la croûte, je connais une auberge ou la marmite est saine et toujours richement dotée ! Si vous voulez en savoir plus sur cette période, nous ne sommes pas sortit de l’auberge…
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Mais quel débauché que ce Prince, pour notre plus grand plaisir ;)
Flav de http://flav1982.erog.fr
;)
Que c'est bon de suivre le dévergondage d'un prince.
Merci, je vais bientôt me remettre à l'écriture de la suite de ses aventures...
une débauche sous la royauté??
c est pas nouveau
et j aurais bien fait le laitier
Lol
Le récit est construit à partir de personnages historiques réels!