Lundi 11 octobre 1 11 /10 /Oct 01:36

Suite du chapitre 1: Mémoire d'un champi (3)

 

-Un vrai régal, vous aviez raison, pouvons-nous cependant trouver un endroit plus intime pour continuer votre récit ? Nous avons brûler des étapes, j’aimerais savoir comment les choses ont évoluer…

-Tandis que j’étais encore laitier ?

-Oui, si ça ne vous dérange pas.

-Pas le moins du monde… Mais que voulez-vous savoir ?

-Vous me dites qu’il vous a en quelques sortes prit sous son aile ?

-On peut dire ça …

-Avez-vous souvent troussé le roi ?

-Quelques fois…

-Conté moi cela s’il vous plaît ?

-Ma fois la seconde fois ou j’ai introduit mon membre dans sa royauté c’était le lendemain de la première fois. Alors que j’apportais son lait à Monsieur, je ne le trouva pas à son cabinet du matin aussi j’ai comme le protocole le recommande attendu avec mon plateau. J’ai vite entendu des cris provenant de l’appartement voisin, ma curiosité fut la plus forte, j’allais voir par la porte entre baillée. Monsieur à quatre pattes défroqué sur sa literie, se faisait écartelé par un objet que tenait en main le chevalier.

-Quel était cet objet ?

-Je ne le savais bien entendu pas à l’époque, je ne l’ai appris que plus tard, il s’agissait d’une défense d’éléphant sculptée en forme de phallus, un objet en provenance d’une expédition d’exploration en terre barbare non chrétienne. Le chevalier me vit alors que je regardais le spectacle, comme à chaque fois il m’invita à le rejoindre.

-Figure toi mon brave que cette chienne, n’en n’a pas eu suffisamment hier, je l’ai trouvée ce matin en train de se faire du bien toute seule avec cet objet profane que nous devrions céder à l’Inquisition. Mais nous allons plutôt prendre notre rôle de mâles au sérieux et engrosser cette truie. On va la farcir comme on prépare un faisan, qu’il lui en tombera du fion pendant deux jours.

-Et son Imminence ne se démena pas ?

-Bâillonnée, craignant une enquête de l’Inquisition, elle n’en était que plus docile. Et de vous à moi, elle aimait ça !

-Oh ! Vous aussi ?

-Qui n’aime pas satisfaire sa virilité ?

-Qu’est il arrivé ensuite ?

-Nous avons rempli de foutre Monsieur à tour de rôle, dilater par l’ivoire par ses propres soins, ce n’était qu’un trou béant que cet anus dans lequel nous nous sommes vider tant que possible. L’orifice ne se refermait même plus, restait béant, n’attendant que les saillies. Je ne les ai pas comptées, mais de toute la matinée nous nous sommes relayé. Le chevalier buvant il est vrai entre chaque ruade du bourgogne nouveau pour se donner du tonus. Tant que son altesse ne s’est pas effondrée nous n’avons pas arrêté. C’est sous les assaut du chevalier qu’elle est tombée tout à plat dans ses draperies d’Anvers, haletant comme une truie, et le chevalier a pourtant finit son assaut de tout son poids sans s’en soucier. Les bites moles, le chevalier a poussé en bas du lit Monsieur. Il s’est installé confortablement m’a appellé à ses côtés. Il m’a passé un bras autour de l’épaule comme si j’étais un chevalier de sa caste rigolant à une veillée.

-Nos queues sont repoussantes, vient les lavées, larve ! Nous devons être propret pour madame votre épouse.

-Il a osé ?

-Oui il a osé et il l’a fait. Mais j’y reviendrais car ce fut un peu plus tard. Nos dards léchouillés en guise de lavement, j’ai repris vigueur, Monsieur s’en délectai à peine, se démenant à me faire reprendre toute ma vigueur que le chevalier le repoussa d’un coup de pied. « Nettoyer j’ai dis, pas s’amuser » et quand il crie mon maître il a de la voie ! Monsieur s’est excusé, est partit pleurer dans un coin de la pièce, quand il s’est déplacé, notre foutre coulait d’entre ses fesses en abondance, le chevalier a réclamé une bourse pour notre peine. Il s’est servit dans les affaires de Monsieur et m’a emmené avec lui faire la tournée des tripots de la bastide.

-Vous dites votre maître, pourtant il vous traite d’égal à égal.

-Des habitudes qu’on n’efface jamais.

-La première épouse du chevalier, nous le savons a fait enquêté son propre frère sur son époux, mais après quelques lettres pour compte rendu, il a complètement disparu de France.

-Il y est toujours pourtant, je vous emmène le voir si le cœur vous en dit.

Nous nous sommes donc rendu caché par des capes dans la gargote de la mère Gégère. Là ou monsieur le comte, travestit en marquise se donne en spectacle chaque soir sous le pseudonyme Marquise Phalucette, vêtue et maquillée comme une catin de Venise. Immanquablement chaque soir, il chante cet air grivois que les habitués entonnent avec lui, eux ne savent pas que c’est sa vie qu’il chante.

‘Mon beau comte m’a emportée,

Je n’ai pas convolée,

Je me suis pourtant donnée…

Donnée et tant donnée,

C’est lui qui m’a donnée,

A celui qui me fait fredonnée,

Et ronronnée pour quelques piècées.’

-Le comte, c’est le chevalier ?

-C’est exact. Madame la comtesse de Lorraine, éternelle jalouse, alors que nous étions en guerre, avait envoyé son frère dans les pattes de son époux afin qu’il enquête et le surprenne dans ses supposées débauches de pédérastes. Plus d’une fois, nous avons surpris le jeune baron en train de nous épier. Nous faisions semblant de rien, le chevalier ne voulait pas d’ennuis avec sa belle famille d’autant qu’il est le parrain du fils de son beau frère. Mais un soir alors qu’il trempait dans son effluve, en homme de sang, il n’y a plus tenu. Trempé, pas encore raclé il a bondit hors de la tante, a attrapé par le collet son beau frère et lui a demandé ce qu’il voulait ! Le baronet, a jeté un regard sur la verge impressionnante du chevalier, ce qui l’a perdu !

-Tient donc mon beau frère, vous faites partie des amis de Monsieur frère du roi, vous aimez les dards.

-Non, non, que dites-vous là ! Lâchez moi ou j’appelle à l’aide.

-Appelez et vous expliquerez au commandement ce que vous faisiez à m’épier une fois de plus alors que je prends mes aises et du repos !

-Vous perdez la tête…

-Que je vous reprenne encore une fois à m’épier et vous le sentirez passé.

-Les choses auraient pu en rester là, mais la baronet n’était guère habile dans l’espionnage. Sur une autre campagne militaire contre les Angles, le chevalier avait jeté son dévolu sur une belle et jeune fermière qui ravitaillait en volaille les marmitons. La croupe dodue et de beaux seins fermes qu’on pouvait presque voir jusqu’aux mamelons dans son corset faisaient tourné les têtes et dresser les pieux de toute la colonne. Le chevalier lui donna rendez-vous galamment sous un chariot de son convoi. Dans ses chariots, il empilait prises de guerre, différents achats et présents pour son épouse comme des lainages et autres babioles propre à la gente féminine. Le baronet grimpa sur l’un d’eux pour voir se que trafiquait le chevalier avec cette fermière, voulant voir d’un peu trop près, il tomba sur la fermière qui poussa des hurlements qui mirent en alerte le campement. Elle s’enfuit débraillée sous les bravos des factions. Pendant ce temps, le baronet était maintenu fermement par le chevalier gueule en terre.

-Sais-tu depuis combien de temps, cuir, je ne me suis pas vidé les oignons dans une chatte ! J’en ai mal aux couilles. Je trouve une fille pas farouche et jolie avec ça et tu lui tombes dessus à la faire fuir !

La baronnet bâillonné, par peur de représailles et d’attirer l’attention n’osait rien dire, n’osait pas non plus se démener. J’étais venu voir si mon maître n’avait besoin de rien. Il me dit en éventrant de son épée l’arrière de la culotte de son beau frère que tout allait bien et qu’il était servit. Je partis à reculons et je vis des larmes coulées sur les joues de se proie, sans ménagement il s’introduisit dans le cul de son beau frère, le sodomisa avec force, après quelques va et vient, il se déversa en lui, car il avait bien été commencé par la fermière. Je vis le baronet s’enfuir sans demandé son reste dans sa tente et le chevalier retourner dans son effluve.

Par Le poète crotté - Communauté : Roman gay Rose
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